Tannhäuser à Lyon : un nouvel épisode de La Guerre des étoiles
Au pupitre, Daniele Rustioni veille sur un plateau où brillent Stephen Gould et Johanni van Oostrum.
“D’une fluidité toute latine, Daniele Rustioni rend la « romantische Oper » à ses élans weberiens, conciliant la souplesse et la tension, parvenant surtout à l’équilibre et à l’unité dans une partition souvent tiraillée entre l’opéra de l’époque et celui de l’avenir.”
Diapason, Didier van Moere