Au Festival d’Aix-en-Provence, deux grandes Tosca pour le prix d’une
“En Daniele Rustioni, Christophe Honoré a trouvé un précieux allié. Non seulement le chef italien ne pouvait guère faire plus pour prouver sa volonté d’entrer dans le jeu scénique (qui le propulse sur le plateau, avec tout l’orchestre, au troisième acte), mais la façon dont il mène le bel Orchestre de l’Opéra de Lyon est aussi limpide que la mise en scène est complexe. Claire, chaleureuse, attentive à magnifier les détails dont regorge la partition, sans que cela atténue la flamme orchestrale, la direction musicale veille aussi au bien-être vocal des chanteurs.”
Sophie Bourdais, Télérama